Pendant les premières années après leur création, les petites entreprises peinent souvent à honorer leurs factures dans les temps. Pour leur venir en aide, des sociétés spécialisées en affacturage proposent de s’acquitter des dettes à leur place, en avançant les montants nécessaires, moyennant bien entendu des intérêts. Mais pour l’instant, c’est une solution qui a du mal à convaincre.
L’affacturage existe depuis un certain temps déjà, mais autant les TPE-PME hésitent à y recourir, autant les établissements spécialisés – appelés « factors » - rechignent à accorder des financements à des sociétés qui démarrent à peine.
En effet, les petites structures ont tendance à croire, à tort ou à raison, que cette solution reste l’apanage de grandes entreprises, qui sont solvables et qui peuvent faire face aux intérêts générés par le prêt. De plus, beaucoup sont découragées devant la complexité de la procédure pour monter un dossier d’affacturage.
Pour les « factors », la réticence à financer les jeunes entreprises vient surtout du fait que les factures en elles-mêmes ne représentent que quelques milliers d’euros tout au plus, ce qui est, selon eux, trop peu pour être rentable.
Mais dernièrement, le factoring gagne de plus en plus en popularité. En France, ce mode de financement a enregistré une croissance annuelle de 10 % à 15 %. Toutefois, le nombre de TPE-PME intéressées par cette solution reste relativement faible ; elles sont seulement 30 000 à avoir franchi le pas.
L’ambition de la nouvelle fintech Finexkap est de permettre aux TPE-PME d’accéder à des financements, dans les plus brefs délais, et avec le moins de contraintes possible.
Toutes les démarches peuvent être effectuées en ligne. Et si auparavant il fallait 4 à 6 semaines pour monter un dossier, désormais, ce processus prend à peine quelques minutes.
À noter que l’inscription est gratuite et que Finexkap ne réclame ni frais de dossier ni abonnement. Une fois la demande validée, les fonds sont virés sur le compte de l’entreprise en moins de 48 heures.