Le gouvernement suggère la suppression de la mention obligatoire du TEG dans les contrats de crédits destinés aux professionnels, sauf pour les prêts à taux fixe, dans le cadre du projet de loi sur le « droit à l’erreur ». Il envisage de mettre en place de nouveaux outils pour faciliter la comparaison des offres.
Le financement en capital-risque des startup est certainement un des phénomènes du moment en France. Dans cette discipline, le réseau de cabinets de conseils KPMG lui accorde d’ailleurs la troisième place en Europe. Toutefois, le nombre de levées de fonds a connu une baisse significative en 2017. Selon KPMG, malgré une telle situation, cette tendance peut se traduire par le gain en maturité des de ces jeunes pousses.
Avant de lancer une entreprise, il est nécessaire d’établir un plan afin de mener à bien le projet. En effet, il est important d’évaluer le montant des investissements nécessaires au lancement de l’activité. Il faut ensuite passer à la recherche de financement. Cette étape est essentielle pour pouvoir démarrer les affaires.
Environ 550 000 nouvelles entreprises sont créées chaque année en France. Si chacune d’elles est unique de par ses ambitions, ses offres, son parcours et son histoire, leurs créateurs ont tous dû suivre peu ou prou les mêmes étapes pour les mettre sur les rails. Zoom sur ces incontournables pour réussir la création d’une entreprise.
Recourir au financement privé est devenu une solution évidente pour approvisionner les caisses de l’entreprise et assurer son développement. Il existe plusieurs alternatives permettant d’y arriver, et qui correspondent à chaque phase de maturitéde la société, telles que le crowdfuding, les participations des « business angels » et l’introduction en Bourse.
Avec la préoccupation grandissante de la société pour les enjeux environnementaux et le développement des crédits carbone, les établissements bancaires proposent depuis quelque temps de nouveaux moyens de financement qui sont des prêts accordés aux professionnels dans le cadre de dépenses à visée environnementale ou sociale. Ces crédits verts ont le vent en poupe, mais nécessitent un cadrage.
Le recours au crédit des entreprises françaises a fortement augmenté en 2017. Selon les chiffres publiés par la Banque de France, l’année dernière, l’encours des prêts professionnels mobilisés par les entreprises françaises a atteint 947,5 milliards d'euros, soit une hausse de 5,6 % sur un an.
Le projet de loi sur « le droit à l’erreur » propose d’alléger les obligations qui pèsent sur les établissements bancaires lors de la présentation de leurs produits. Il suggère entre autres de mettre fin à l’obligation de mentionner le taux effectif global ou TEG pour un certain nombre de crédits aux entreprises.
Solution de financement fort intéressante pour les entrepreneurs, le crowdlending ou prêt participatif se présente comme une alternative au financement traditionnel des institutions bancaires. Le crowdlending offre plusieurs avantages qui promettent de convaincre les entrepreneurs qui désirent lancer un projet sans en avoir les moyens. Il s’agit notamment de la rapidité du déblocage des fonds, de l’absence de garantie et du financement de tout type de projet. Tour d’horizon !
La Commission européenne vient de recevoir le rapport des vingt experts de haut niveau sur la finance durable (HLEG) au terme d’une année de travail. Le document contient 28 propositions de mesures pour la mise en place d’un système financier propice aux investissements durables, notamment la création d’un facteur de soutien vert.
À ce qu’il parait, les petites et moyennes entreprises françaises manquent cruellement de ressource pour leur développement. Sur ce point, les avis divergent. Pour certains, le problème serait d’ordre financier. Pour d’autres, plusieurs facteurs sont à prendre en compte. Les observateurs sont même allés jusqu’à pointer du doigt le manque de compétence des entrepreneurs.
Tous les ans, les investisseurs se demandent où ils doivent placer leur argent. Il faut savoir que WeShareBonds, la plateforme de financement participatif de crédit aux petites et moyennes entreprises, a dressé un bilan pour cette année, suite à la perspective de la hausse des taux et à la réforme fiscale.
La banque publique d’investissement, dont la moitié des parts est détenue par le gouvernement et la Caisse des Dépôts, veut élargir ses champs d’action. Historiquement orienté vers le financement des start-ups, le rôle de Bpifrance est également le soutien des PME, la mise à disposition de fonds pour les grandes entreprises et l’offre de garanties d’emprunt aux TPE. Depuis 2017, elle dispose aussi d’une assurance export.
Le financement de l’activité et du développement sont des problématiques qui préoccupent de manière récurrente le dirigeant de PME. Depuis 2014, le crowdfunding offre aux entreprises françaises la possibilité de prêter aux PME. Cette nouvelle forme de financement permet d’effectuer un placement de trésorerie à court-terme.
La création d’entreprise séduit un nombre croissant de Français. Mais si beaucoup ont des idées intéressantes, seul un petit nombre parvient à démarrer une activité. Une préparation insuffisante, l’absence de financement, le manque de compétences en management… sont autant de facteurs d’échecs. Mais surtout, la plupart des entrepreneurs commettent les 5 erreurs suivantes, qui peuvent signer le glas de leur projet.
Pour les directeurs financiers d’une entreprise, la demande de crédit auprès d’un établissement bancaire peut s’avérer pénible et de longue haleine. Mais il existe une option qui pourrait rendre les choses plus faciles et avantageuses : faire appel aux services d’un professionnel dans le domaine. C’est justement l’activité principale d’un courtier.
Les start-ups se multiplient, et avec elles, les levées de fonds ultra médiatisées. Depuis quelques années, les jeunes pousses se lancent dans des campagnes de communication à outrance destinées à faire le buzz et attirer l’attention des investisseurs potentiels. Or, le risque est que le tour de table devienne une fin en soi, au détriment d’une stratégie d’entreprise bien ficelée, menant celle-ci droit dans le mur.
La plate-forme digitale Medef Accélérateur a été mise en place en octobre 2017 pour rapprocher les entreprises en quête de financement et les partenaires financiers, dont des banques, des fonds d’investissement, mais aussi des acteurs du crowdfunding. Tout récemment, le Medef, qui est à l’origine de ce projet, a annoncé le financement de la première entreprise, Metalliance, en collaboration avec WeShareBonds.
Actuellement, créer une entreprise est un véritable jeu d’enfant. Il suffit effectivement de déposer son dossier auprès des CFE, afin d’obtenir rapidement un numéro d’immatriculation. Le financement de la structure risque néanmoins de donner du fil à retordre au porteur de projet. Il a alors tout intérêt à se faire accompagner par un professionnel du domaine.
L’arrivée des modes d’investissement et de financement participatif a permis de constater que les Français tiennent à leur industrie. Les sociétés industrielles qui ont essayé le crowdfunding/crowdlending ont rencontré un vif succès.