Malgré les nombreuses initiatives publiques et privées engagées depuis les années 2000, la digitalisation des TPE françaises reste marginale. Cela constitue un sérieux handicap aujourd’hui, en pleine période de fermeture administrative due au Covid-19. Pour y remédier, les banques déploient plusieurs mesures incitant les commerces de proximité à embrasser la voie de la numérisation.
Pour les dirigeants d’entreprises, la pandémie du coronavirus n’est pas uniquement une source d’inquiétude pour leur santé et celle de leurs collaborateurs. C’est aussi une menace réelle à la pérennité de leurs activités en mettant sur leur chemin des obstacles financiers comme le non-respect des délais de paiement qui n’a fait que se renforcer depuis quelques mois.
L’indemnisation des entreprises fermées administrativement pendant le confinement se trouvait au cœur des discussions entre les assureurs et leurs clients durant l’été. Cette question, devenue source de conflits, sera bientôt réglée avec l’annonce d’un nouveau régime de couverture de la catastrophe sanitaire prévu dans les prochaines semaines. Cette assurance reposerait sur un système de garantie impliquant les établissements privés et l’État.
Dans le cadre de son enquête de conjoncture, l’Insee s’est donné pour mission de mesurer l’impact de l’épidémie du coronavirus sur l’état de santé des régions françaises sur la période d’avril à juin de 2020. Le bilan est lourd selon l’Institut national mettant en exergue les principaux indicateurs pointant dans ce sens.
Coincées entre la crise et la volonté gouvernementale de transformer le parc automobile national, les entreprises et gestionnaires de flotte traversent une période des plus troubles. Ces difficultés combinées semblent toutefois profiter aux véhicules électriques, qui continuent de gagner des parts de marché surtout auprès des flottes d’entreprise et des loueurs professionnels.