Les PME ou Petites et moyennes entreprises ainsi que les ETI ou Entreprises de taille intermédiaire s’intéressent aujourd’hui au développement de leur activité en investissant aussi bien dans les moyens humains que dans les nouvelles technologies. Selon la 2ème édition du Baromètre EY, les dirigeants de ces deux catégories d’entreprise affichent un important optimisme tout en essayant de réviser leurs objectifs, dans le bon sens du terme.
Afin de trouver une solution face aux difficultés des PME concernant les délais de paiement, la loi pacte sera examinée par le gouvernement. Elle prévoit le droit au rebond. Pourtant, il est à souligner que cette loi ne répond pas à la question du crédit inter-entreprises. Si ce futur plan d’action est une composante du besoin en fonds de roulement, il constitue aussi une raison importante de la liquidation des entreprises françaises.
Pendant les premières années après leur création, les petites entreprises peinent souvent à honorer leurs factures dans les temps. Pour leur venir en aide, des sociétés spécialisées en affacturage proposent de s’acquitter des dettes à leur place, en avançant les montants nécessaires, moyennant bien entendu des intérêts. Mais pour l’instant, c’est une solution qui a du mal à convaincre.
Les difficultés de Tesla ne sont un secret pour personne : retard de production du Model 3, problème de liquidités, rentabilité qui se fait attendre, mauvaises performances en Bourse. Il semble que le constructeur américain ait trouvé la solution pour augmenter sa profitabilité : exiger de ses fournisseurs des ristournes « significatives » sur des contrats payés depuis 2016.
Plus de 50 millions d’euros à lever. C’est ce que la société lyonnaise spécialisée dans les véhicules autonomes espère obtenir en effectuant son entrée en bourse sur le marché EuroNext. Ce fonds servira à financer son fonctionnement, maintenir son leadership technologique et soutenir son développement à l’international. Cette opération est décisive, au vu des déficits enregistrés dernièrement.