Créée il y a environ un an, la Fintech Alma se spécialise dans le rachat des créances des professionnels de l’e-commerce. Elle propose une solution permettant aux clients des sites marchands de régler leurs achats en plusieurs fois. Plus précisément, elle finance les dettes des e-boutiques, évitant à ces dernières les risques de défaut de paiement.
La start-up GoCardless propose aux entreprises d’automatiser la facturation de leurs clients, en s’appuyant sur le prélèvement bancaire. La technologie utilisée permet d’établir une liaison entre l’entreprise et ses clients et de réaliser les prélèvements automatiquement. L’entreprise ne se charge donc plus d’aucune opération et peut se servir de ce système pour ses clients en France ou à l’étranger.
Pour les neuf premiers mois de l’exercice 2018 – 2019, le bilan a été positif pour le Groupe Sodexo, leader mondial des services dédiés à l’amélioration de la qualité de vie. En effet, il a enregistré une croissance interne de près de 3 % pour son chiffre d’affaires et se projette déjà sur l’avenir, en espérant une progression soutenue.
En phase de devenir une firme de développement clinique de stade avancé, le belge ASIT biotech envisage un tour de table. Maintenant que les actionnaires ont donné leur accord sur ledit financement, la société biopharmaceutique peut poursuivre sa croissance. Elle innove dans la fabrication de produits d’immunothérapie contre les réactions allergiques.
De nombreuses PME et TPE doivent constamment faire face aux soucis causés par le manque de trésorerie. Des problèmes essentiellement dus à des retards de paiement ou à des charges trop importantes. Afin de les aider à surmonter, ou plutôt, à prévenir ces difficultés financières, la Banque de France a développé des outils basés sur l’IA avec la collaboration de quelques organismes spécialisés.
19 milliards d’euros, c’est au total la somme qui manque à la trésorerie des PME sous-traitantes françaises. Mais d’où vient une telle perte ? Le rapport publié par l’Observatoire des délais de paiement accuse les retards de paiement que subissent ces structures. Pour améliorer la situation, donneurs d’ordre et sous-traitants sont appelés à renouveler leur relation.
Au Maroc, les sociétés de leasing contribuent activement au financement du secteur entrepreneurial. La progression du crédit-bail octroyé par ces dernières sur la période de 2018 en est la preuve si l’on croit l’APFS qui a soutenu qu’elles ont financé des milliers de projets à travers le crédit-bail immobilier (CBI) et le crédit-bail mobilier (CBM).
Faisant l’objet d’une importante refonte en France comme à l’étranger, Carrefour a récemment annoncé la cession de 80 % de ses parts au profit du consortium chinois Suning La transaction est estimée à 4,8 milliards de yuans, soit environ 620 millions d’euros. L’opération devrait être bouclée avant le début de l’année prochaine.
L’économie mondiale se trouve actuellement dans une situation assez complexe. Des évènements majeurs, comme le Brexit ou encore les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, nourrissent les incertitudes. Toutefois, même si elles ne s’attendent pas à un avenir radieux, les PME françaises font preuve d’un certain optimisme.
Le dernier fabricant de wagons français se retrouve dans une plus mauvaise posture qu’il y a près d’une décennie quand il était à un cil de faire l’objet d’une liquidation. Un seul problème a suffi pour que Titagarh Wagons AFR revive la même situation. Mais cette fois encore, il lui reste une petite lueur d’espoir qui pourrait lui permettre de sortir la tête hors de l’eau.
Pour chaque facture non conforme, l'assurance de délais de paiement augmentera systématiquement, affectant ainsi les résultats de l’établissement considéré. Pourtant, selon le dernier baromètre du Médiateur des Entreprises, les factures bloquées ont eu tendance à augmenter en 2019 pour les PME et les ETI. Les petites structures françaises devraient donc revoir leur manière de gérer leurs pièces comptables.
Finexkap, spécialiste de l’affacturage pour les petites entreprises et travailleurs indépendants, vient d’obtenir le soutien financier de Chenavari Investment Managers. Outre une injection en fonds propres, la firme londonienne s’engage à investir plus de 30 millions d’euros afin de permettre à la start-up de décupler sa propre capacité annuelle de financement des factures clients dans un délai de deux ans.
Alstom peut désormais prétendre à des objectifs ambitieux pour les années à venir. Cet expert français des systèmes de transport ferroviaire dispose en effet des atouts nécessaires pour espérer y parvenir dans les meilleures conditions. Le groupe prévoit d’ailleurs de réaliser une croissance annuelle nettement supérieure à celle du marché.
La gamme d’outils informatiques de prise en charge de factures numériques destinée aux PME s’est récemment élargie avec l’arrivée d’Yrcash, proposé par Yrcam. Cette solution permet notamment de rendre moins complexe et d'optimiser la gestion des nombreuses factures émises par l’entreprise. Le logiciel est aussi doté de la solution Payzen pour faciliter les recouvrements.
