Un rêve d’enfant qui prend vie grâce au financement participatif ? C’est la belle histoire du moment du côté de Cherbourg, où une pâtissière vient d’ouvrir une biscuiterie artisanale, directement inspirée du film « Charlie et la chocolaterie ». L’aventure de la jeune cheffe promet déjà d’être savoureuse pour les amateurs de biscuits artisanaux de la région.
Alors que l’économie mondiale était plongée dans une crise à l’issue incertaine depuis plus d’un an, certaines activités continuent de fonctionner normalement, comme si de rien n’était. Les sites de crowdfunding poursuivent même leur progression, à l’instar de Kengo, une plateforme qui a misé sur son ancrage breton pour convaincre donateurs et porteurs de projet.
En dix ans, l’industrie de l’automobile 100 % électrique a complètement changé, sous l’impulsion de Tesla et de ses modèles futuristes, comparés à des smartphones sur roue. De nouveaux entrants tentent de s’offrir une place sur ce marché d’avenir, avec plus ou moins de succès. Les constructeurs traditionnels avancent eux aussi à pas de géant.
En Belgique, la finance participative gagne du terrain et commence à couvrir des secteurs d’activité autres que le high-tech et l’électronique. De plus en plus de petites entreprises et de commerces de proximité optent pour ce moyen de financement, à l’instar de Plaisirs Symples, une herboristerie créée par Claude Remacle Laborie.
Bien avant l’arrivée des hypermarchés et de leurs rayons remplis de produits surgelés et industriels, les commerçants de marchandises en vrac avaient la cote auprès des acheteurs. L’entrepreneure à l’origine d’Ecolégram’ veut dépoussiérer ce concept laissé à l’abandon avec son épicerie ambulante pensée et gérée selon une démarche volontairement écoresponsable.