Profitant de la présentation des vœux de la Capeb, son président a souhaité que 2017 soit l’année des TPE/PME, dans le sillage de 2016, où l’artisanat du bâtiment a renoué avec la croissance. Malgré les nombreuses incertitudes, au plan national et international, Patrick Liébus demande « une grande politique de petits travaux », seule capable de redynamiser l’économie locale.
Les premiers effets du cadre règlementaire sur l’économie solidaire et sociale instauré par la loi Hamon commencent à se faire sentir. Deux ans après, les sources de financement continuent de se diversifier et viennent soutenir un secteur en plein redressement, qui pèse désormais plus de 10 % du PIB.
La Banque publique d’investissement (BPI) vient de signer une convention de partenariat avec une dizaine d’investisseurs en vue de la création d’un fonds d’investissement franco-africain. Cette structure aura un double objectif : faciliter l’implantation des entreprises françaises en Afrique et accompagner les PME africaines qui cherchent à se développer en France.
Un bon nombre de solutions s’offrent actuellement aux dirigeants pour satisfaire les besoins de financement à court terme de l’entreprise, que ce soit lors de la reprise ou de la création d’une franchise ou en cas de problème de trésorerie.
Tout comme pour les PME, le manque de financement constitue le principal obstacle au développement des entreprises de taille intermédiaire françaises (ETI). RAISE INVESTISSEMENT, société de capital investissement, se veut être la réponse concrète à cette problématique.
Afin de soutenir la filière numérique, l’association des entreprises du secteur propose aux candidats à la présidentielle plusieurs axes pour son financement. Tech in France souhaite notamment inciter les particuliers à investir dans une PME française innovante, à réorienter l’assurance-vie vers l’économie réelle et l’amélioration du dispositif des corporate venture.
L’affaire Vivarte, et plus généralement, la crise que traversent des groupes sous LBO, illustre les dérives du marché de dette, pratiquement sans contrôle, car dépourvu de régulation. Mais c’est aussi la conséquence du laxisme des années 2000 autour des fonds qui ont adossé des dettes déraisonnables aux sociétés qu’ils rachetaient. Il est temps de mettre fin à ces pratiques.
Le volume de prêts aux entreprises accordés à fin novembre 2016 a grimpé de 4,8 % en glissement annuel.
Selon un rapport publié par l’ANSA, le nombre d’actionnaires individuels a fortement reculé en France au cours des quinze dernières années. Une situation qui s’explique en grande partie par une fiscalité pénalisante pour les petits investisseurs.
Selon Stéphane Boujnah, patron d’Euronext, la bourse a pleinement rempli son rôle de financement de l’économie en 2016 et constitue une précieuse source de financement à long terme pour les entreprises.
Le congrès national des tribunaux de commerce de France s’était tenu le 9 décembre dernier à Marseille. C’était l’occasion pour des centaines de juges de débattre sur un sujet qui leur tient à cœur : le financement des petites et moyennes entreprises, et de tordre au passage le cou à quelques idées reçues qui ont la dent dure.
Contracter un prêt pour financer la création ou d’une entreprise est une démarche délicate. Plusieurs critères seront analysés par le banquier lors de l’étude de votre dossier afin d’avoir une idée précise sur vos capacités de remboursement.
Les parlementaires ont adopté en deuxième lecture le compte PME innovation (CPI), dispositif fiscal destiné aux « business angels ». Toutefois, avec des conditions d’éligibilité, tous n’y auront pas accès.
Depuis le 1er janvier 2013, le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) permet aux entreprises françaises de réduire leurs coûts de personnel. Le dernier bilan du comité de suivi révèle que le secteur de la construction en est l’un des principaux bénéficiaires, la part de la masse salariale éligible au mécanisme pour les 200 000 sociétés de construction dépassant 75 %. Zoom sur les règles spécifiques qui s’appliquent pour le BTP.
En cas de forte volatilité des marchés financiers, les entreprises familiales, généralement réputées pour leur bonne gouvernance, semblent mieux résister.
Afin de simplifier la transmission d’entreprises familiales, Bpifrance propose depuis décembre 2016 le dispositif Bpifrance Family. Il fournit un soutien aux PME et ETI familiales, notamment sur la question du financement.
Le principe de l’épargne solidaire est de, non seulement, vous rapporter de l’argent, mais aussi de contribuer au développement d’entreprises sociales ou de causes utiles à la collectivité.
Pour les problématiques de financement, les PME ont longtemps privilégié les solutions bancaires. Progressivement, les options disponibles se sont élargies. En plus du crédit, d’autres formes de financement ont fait leur apparition, à l’exemple de l’affacturage, du crowdfunding et des financements de marché. De nouveaux acteurs viennent aujourd’hui compléter ce paysage. Ceux-ci ont pour ambition de mettre en relation les emprunteurs et les financeurs. Cette année, deux grands projets ont notamment été lancés : « Monetarii », la fintech de Fidal et « Scopfi », la plateforme d’Altares.